Des chercheurs décryptent l’optimisme
Notre cerveau serait programmé pour accorder plus d’importance aux bonne nouvelles qu’aux mauvaises. Ce biais expliquerait en partie la cause de certaines psychopathologies. Lorsqu’on demande à un gros fumeur quel est son risque de mortalité prématurée ou à certaines femmes quel est leur risque de cancer du sein, ces personnes vont avoir tendance à améliorer leurs perspectives futures. En psychologie cognitive, ce processus est appelé le biais d’optimisme. Pour essayer de mieux le comprendre, une équipe de recherche du Laboratoire de neurosciences cognitives de l’Institut national de [...]