Prix-du-livre-OptimistePour combattre le pessimisme ambiant et renforcer l’attitude mentale positive, la Ligue des Optimistes de France a créé le Prix du Livre Optimiste.

Le 4ème Prix du Livre Optimiste sera remis fin août et récompensera l’ouvrage d’un auteur francophone publié au cours de l’année écoulée (2014 – 2015) parmi une demi-douzaine de livres sélectionnés pour leur approche constructive :
– L’économie du bonheur, de Claudia Senik (Coédition Seuil-La République des idées)
– Les plaisirs cachés de la vie, de Théodore Zeldin (Fayard)
– C’est la vie, de Jean-Louis Servan-Schreiber (Albin Michel)
– Le jour où j’ai appris à vivre, de Laurent Gounelle (Kero)
– 50 bonnes raisons de choisir l’optimisme, de Thierry Saussez (Saint Simon)
– Le paradoxe du poisson rouge, de Hesna Cailliau (Saint Simon)

Le Prix du Livre Optimiste 2015 sera décerné par un jury composé de personnalités optimistes :
– Patrick Poivre d’Arvor (Président du jury)
– Florence Cathiard
– Florence Servan-Schreiber
– Yolaine de la Bigne
– Luc Simonet
– Philippe Gabilliet

Présentation des 3 premiers ouvrages sélectionnés :

Claudia-SenikL’économie du bonheur, de Claudia Senik (Coédition Seuil-La République des idées)

Nos sociétés ont fait du bonheur une idée neuve, un principe constitutionnel, presque un devoir.
Le bonheur de l’individu est devenu l’objectif suprême des choix politiques.
Mais peut-on mesurer quelque chose d’aussi subjectif et impalpable que le bonheur ?
Depuis une trentaine d’années, les économistes ont tenté de relever ce défi. Ils ont fait le pari de mesurer le bonheur tel qu’il est ressenti et déclaré par les individus eux-mêmes.
Leur enquête concerne plus particulièrement le rôle de la richesse. L’argent fait-il le bonheur ? La croissance rend-elle les gens plus heureux ?
Dans le cas contraire, faut-il opter pour la décroissance ou, du moins, mesurer le bien-être au-delà du PIB ?
Ce passionnant champ de recherches permet de comprendre pourquoi la France, pays objectivement riche, souffre d’un tel « déficit de bonheur ».

Claudia Senik est professeur à l’université Paris-Sorbonne et à l’École d’économie de Paris. Auteur de nombreux articles de référence, elle est l’une des spécialistes internationales de l’économie du bien-être et de l’économie comportementale.

Theodore-ZeldinLes plaisirs cachés de la vie, de Théodore Zeldin (Fayard)

Quelle est la grande aventure de notre temps ?
Comment être apprécié à sa juste valeur ?
Comment ne pas gâcher sa vie ?
Comment changer les rapports entre pauvres et riches ?
Comment engendrer des formes de travail
et une nouvelle philosophie du « business » qui
correspondent aux souhaits d’aujourd’hui ?
Comment remédier à la pénurie d’âmes soeurs ?
Femmes et hommes pourraient-ils se traiter autrement ?
Comment mieux déployer son sens de l’humour ?
Voici quelques questions, parmi beaucoup d’autres, auxquelles Theodore Zeldin répond tout en disséquant les espoirs frustrés de maints personnages historiques, obscurs ou célèbres.
Les plaisirs cachés de la vie deviennent avec lui une source de perspectives inattendues et à la portée de chacun.

Theodore Zeldin est professeur, membre de l’Académie britannique et de l’Académie européenne.

JLSSC’est la vie, de Jean-Louis Servan-Schreiber (Albin Michel)

« Qu’est ce qui compte le plus dans ma vie ? Quel rôle y jouent les autres ? Quels droits et devoirs ai-je à leur égard ? Pourquoi ai-je si souvent l’impression d’en savoir si peu ? Puisque je dois mourir, quel sens a ma vie ? Qu’est-ce qui est vrai ? Juste ? Important ?« , autant de questions sur l’existence que Jean-Louis Servan-Schreiber s’est posées avant d’écrire « C’est la vie ! ».
Un livre qui nous permet de nous interroger sur nous-mêmes car, au final pour aimer la vie, ne faut-il pas bien se connaître soi-même ?
A travers son histoire, l’auteur nous prouve qu’il faut penser sa vie, la comprendre et la connaître avant de l’apprécier.
Des chapitres simples et des pages illustrées par Gorce, tel est le secret du livre de Jean-Louis Servan-Schreiber.
Le journaliste français a notamment confié qu’il se considère comme « un vivant provisoire qui essaye de comprendre enfin des choses simples, le plus lucidement possible« . Pari réussi.

Fondateur du groupe L’Expansion, artisan du formidable succès de la revue Psychologies, Jean-Louis Servan-Schreiber dirige actuellement le magazine bimestriel Clés et préside Human Rights Watch France.

 

Les autres ouvrages sélectionnés pour le Prix du Livre Optimiste seront présentés dans la prochaine Lettr’Optimiste.

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